Le Premier ministre l’avait annoncé le 25 janvier, l’arrêté est paru le 13 février : le barème kilométrique 2022 est paru avec une hausse de 10 % par rapport à l’année dernière.
Le barème permettant de calculer l’indemnité kilométrique pour les ménages imposés déclarant leurs frais professionnels a été rehaussé de 10 % afin de faire face à l’augmentation des prix du carburant.
Pour les quelque 2,5 millions de foyers concernés, « l’effet sera rapide et direct dès leur déclaration d’impôt sur les revenus 2021 ou les bénéfices de l’année dernière » a assuré le Premier ministre le 25 janvier dernier.
Avec ce dispositif qui permettra une réduction moyenne annuelle d’impôt de 150 euros selon le ministère de l’Économie, le gouvernement a choisi de s’adresser à « ceux de nos concitoyens qui roulent beaucoup, c’est-à-dire ceux pour qui le véhicule est finalement un moyen de travail ou de recherche d’emploi ». Selon Bercy, « cette revalorisation a vocation également à servir de référence, et donc potentiellement à se répercuter, sur les indemnités kilométriques directement versées par les employeurs à leurs salariés qui utilisent leur véhicule personnel ».
Cette mesure s’inscrit dans la continuité de l’indemnité de 100 euros annoncées il y a quelques mois à l’intention de 38 millions de personnes. A ce jour, 20 millions l’aurait déjà reçue.
Autres articles dans la même catégorie :
Inclusion et handicap : les CSE moteurs d’une politique RH plus inclusive
Négociations obligatoires : les CSE à la manœuvre pour défendre le pouvoir d’achat
Publication du décret relatif à la protection des travailleurs contre les risques liés à la chaleur
Comment présider le CSE ? Le guide complet pour l'employeur ou son représentant
Le procès-verbal du CSE : guide complet pour comprendre, rédiger et diffuser
Harcèlement sexuel et rôle du CSE : prévenir, alerter, protéger
Licenciement d’un salarié en arrêt maladie : Informations utiles
💶 CSE et Pouvoir d’Achat des Salariés : Comment l’Améliorer ?
🧘 5 Bonnes Idées Bien-Être au Travail
La semaine de 4 jours : les points de vigilance pour le CSE